L'après-guerre
L'industrialisation rapide des villes change le portrait social du Québec.
En 1922, l'effervescence continue d'augmenter vers son point culminant, 1923, l'année la plus exhubérante des « Années folles ».C'est la frénésie de la consommation : autos, « boîtes de nuit », voyages outre-mer et... l'inflation!La bourse s'effondre dans toutes les métropoles du monde C'est le mardi noir du 29 octobre 1929. La crise durera plus de 10 ans.
Marie-J.fait le tourdes usines pourexpliquer,en cachette,leurs droits auxouvrières,« à l'heuredu lunch »
Le fossé se creuse de plus en plus entre riches et pauvres.
Les femmes et les enfants des familles ouvrières manquent de tout, surtout de l'essentiel...
Lecturedans le bois
Marie-J. se retire souvent pour lire tout ce qui peut alimenter ses réflexions et l'aider à "construire" son projet de communauté
© Institut Notre-Dame du Bon-Conseil de Montréal, 26 avril 2003(revisé le 15 mai 2004 14h27)